En moins de trois heures, on liste tout ce qui permettra à cet atelier de se dérouler avec fluidité (nombre de participants minimum et maximum, salle et matériel à disposition, personnes relais). J’insiste sur l’importance de fixer un cadre aux participants.
On teste des jeux de prénom pour faire connaissance et briser la glace au début de l’atelier. On esquisse le déroulement optimal des journées de travail.
Comment faire naître un désir d’improvisation ? Comment susciter la prise de risque tout en respectant la timidité ? Comment responsabiliser ceux qui sont plus avancés ?
Pour finir, on n’oublie pas d’imaginer quelques imprévus qui risqueraient de nuire à la cohésion du groupe ou à son énergie. Comment y faire face ?
Ecoute, diagnostic, analyse, conseils, exercice, entraînement, questionnement, encouragement et valorisation : un cocktail de postures où je me sens à ma place.
En mars, c’est auprès des musiciens de l’Orchestre national de Lille que j’animerai une formation à la médiation, organisée par l’Association française des orchestres.
Hâte de savoir sur quoi nous allons cibler le travail !